Descendre un canyon consiste à parcourir des gorges étroites et encaissées au fond desquelles coulent des rivières au débit plus ou moins important


Dans le canyonisme la progression se fait au moyen de cordes pour les obstacles verticaux (descentes en rappel, mains courantes, désescalades... techniques proches de l’alpinisme ou de la spéléologie) et à la nage ou à la marche pour les déplacements horizontaux. Les parcours sont souvent agrémentés de glissades (toboggans) ou de sauts de hauteur variable (ces derniers ne sont jamais obligatoires).

La difficulté d’un canyon dépend avant tout de sa longueur, de son engagement, et surtout du débit d’eau rencontré. Le nombre et la difficulté des obstacles verticaux rencontrés (cascades) s’ajoutent à ces éléments. La connaissance des sites, de la météo locale et de la réactivité des rivières, ainsi que l’adaptation des difficultés au groupe, sont des éléments fondamentaux de sécurité.

La randonnée aquatique n’est autre qu’une version « allégée » du canyonisme, privilégiant plutôt le côté ludique et familial de l’activité (on n’utilise pas de cordes et les obstacles rencontrés sont à la portée des plus jeunes).

L'équipement individuel
Chaque participant est équipé d'une combinaison néoprène 2 pièces en 5mm, d'un casque, d'un baudrier muni de longes et d'un descendeur, de chaussettes néoprènes. Pour les course longues (niveau perfectionnement) nous fournissons aussi des sacs et des bidons étanches. Un appareil photo étanche peut être mis à la disposition du groupe, seule la carte mémoire vous sera facturée.